Croiriez-vous donc, mes amis, que nos indépendantistes purs et durs fanatiques, toujours bons qu'ils sont à jouer les vierges offensées, se formalisent maintenant du fait que Cyberpresse a fermé le forum de discussions autour de mon article de samedi dernier?
Cette clique de fanatiques et d'intolérants, adeptes d'une haine implacable contre tous ceux qui ne pensent pas comme eux, ont en effet posté des dizaines de messages carrément haineux à mon endroit sur le forum de Cyberpresse, du genre: «Laprès est un malade qu'il faut soigner», «Laprès est un traître à la Nation qui mérite le sort réservé aux traîtres», «Laprès est un mégalomane dangereux» parce que j'ai un blogue où j'exprime mes idées, etc. etc.
Évidemment, ces gens sont trop aveuglés par leur fanatisme et par leur intolérance pour se rendre compte que leur propos haineux, leur extrémisme, leurs insultes, ne correspondent aucunement en la Netiquette qui doit prévaloir sur tous les forums de discussions sur Internet. Omnubilés à me priver de mon droit à la liberté d'expression, ils se sont mis à utiliser leur tactique habituelle: insultes, grossièretés, menaces, espérant ainsi me faire taire.
Cyberpresse a donc décidé de couper court à leur délire fanatisé, et a tout simplement éliminé la «discussion», parce qu'en fait il n'y avait tout simplement pas de discussion. Juste un ramassis de délire haineux, de diffamations, d'insultes et de grossièretés tout aussi répugnantes les unes que les autres. Et évidemment, il n'y avait rien dans ladite «discussion» qui ouvrait le débat sur mon article. Mais ceci dit, j'aurais préféré que Cyberpresse laisse la discussion en ligne, car elle était très révélatrice du réel état d'esprit de la clique de réactionnaires haineux et intolérants et du vide total de leurs idées. L'insulte étant l'arme des faibles, leurs écrits en effet démontraient que vraiment, ces gens-là ne sont pas forts du tout...
Alors, ces enragés se sont rabattus sur le sujet suivant, un texte d'opinion sur l'Afghanistan qui n'a rien à voir avec le contenu de mon article, pour déjecter leur fiel à mon endroit, tout en déchirant leur chemise et en se jetant des cendres sur la tête parce que Cyberpresse a éliminé leurs propos diffamatoires et haineux, et cela en tout bons pharisiens hypocrites qu'ils sont.
Et maintenant, figurez-vous, ils me traitent de Goebbels ou de Goëring!!! Mais ceci démontre leur manque d'imagination plutôt crasse, car sur ce blogue, j'avais moi-même fait un parallèle entre Goebbels et leur grand héros, le très haineux, réactionnaire et anti-démocrate Pierre Falardeau. Soulignons également au passage la démonstration de leur ignorance: ils m'accusent d'être un agent propagandiste de l'«occupant» fédéral: Goëring, personnage tout aussi répugnant qu'il était (et que d'ailleurs les ancêtres idéologiques de nos nationalistes enragés admiraient, Lionel Groulx le premier, qui en plus, il avait un faible pour Goebbels et était un adorateur de Mussolini!), n'avait rien à voir avec la propagande. Goëring était en effet ministre responsable de l'armée de l'air d'Hitler... J'ai lu tout ce que j'ai pu trouver sur les procès de Nuremberg, ce que nos nationalistes enragés n'ont pas fait, vraisemblablement, ce qui d'ailleurs peut expliquer leur culte pour la «Nation» et la «Race Pure»...
Cela retourne, par exemple, en le texte d'un certain Jean Dunois, un personnage tellement bien «informé» et «lucide» que, l'automne dernier, ledit (ou prétendu) Dunois s'était mis à diffamer sur le Net un avocat de Paris qui avait le malheur d'avoir le même nom que le mien, en le présentant comme un «agent français» grassement payé par le fédéral pour «subvertir la libération québécoise». C'est dire combien ce Dunois se montre réfléchi avant de lancer ses stupidités paranoïaques sur Internet.
Mais il est vrai que les lâches de la sorte des Jean Dunois, à l'instar des Hélène Pisier (une spécialiste en onanisme, selon ce qu'elle se plaît à répandre sur le Net), Nicole St-Louis et autres du même acabit, se sentent beaucoup plus à l'aise de diffamer un opposant politique lorsqu'ils sont confortablement installés derrière leur écran d'ordinateur. Je parierais très cher que jamais ces individus (si encore ce sont là leurs vrais noms!) ne se sentiraient capables de me dire en pleine face toutes les énormités qu'ils se permettent de publier sur le Net à mon sujet. De vulgaires lâches, voilà ce qu'ils sont, et j'imagine très bien que si jamais ils osaient frapper quelqu'un, ce serait seulement dans le dos.
En lisant cela le fruit de la rage haineuse de nos chers fanatiques, on ne s'étonnera jamais assez de leur hypocrisie toute pharisienne... Ils pensent qu'ils peuvent diffamer une personne en toute impunité, et déjecter toute leur haine, et tout cela sans que personne ne réagisse. Vraiment, cela devrait donner à réfléchir à ceux qui pensent encore que le projet souverainiste favoriserait les libertés au Québec. Avec une meute de pareils fanatiques et enragés qui ne savent absolument rien de l'éthique la plus élémentaire en démocratie, on peut en effet se poser de sérieuses questions...
En tout cas, j'ai maintenant, c'est assez clair, l'honneur d'être devenu une cible privilégiée de ces gens. Et ceci me réconforte, car si mon propos leur était si indifférent, ils ne prendraient pas la peine de lancer leurs croisades délirantes contre ma petite personne sur le Net. Et s'ils pensent me faire taire, ainsi que les autres qui pensent différement d'eux, eh bien, ils feraient mieux de s'y habituer tout de suite: en plus de justifier par leur propos intolérants et haineux tout ce que nous disons au sujet de la frange pure et dure du mouvement indépendantiste québécois, ces fossoyeurs de liberté et ces diffamateurs grotesques ne réussiront pas à nous faire taire, et leurs déjections d'insultes et de haine ne feront que nous inciter à continuer d'exprimer ce que nous pensons. En toute liberté.
Et aussi, on peut aussi trouver un réconfort dans le fait que si un seul individu, dans ce cas-ci moi-même aussi dépourvu de pouvoir, d'argent et d'influence que je sois, peut à lui seul susciter tant de réactions hystériques de la part de cette clique de fanatiques indépendantistes, et ceci pour avoir commis le seul Péché de publier un article qui remet en cause leur version aliénante de l'histoire du Québec, c'est que leur cause est bien fragile et qu'ils se sentent fortement menacés. Avec des opposants aussi pitoyables et pathétiques, l'idée canadienne a bien de l'avenir devant elle...
Cette clique de fanatiques et d'intolérants, adeptes d'une haine implacable contre tous ceux qui ne pensent pas comme eux, ont en effet posté des dizaines de messages carrément haineux à mon endroit sur le forum de Cyberpresse, du genre: «Laprès est un malade qu'il faut soigner», «Laprès est un traître à la Nation qui mérite le sort réservé aux traîtres», «Laprès est un mégalomane dangereux» parce que j'ai un blogue où j'exprime mes idées, etc. etc.
Évidemment, ces gens sont trop aveuglés par leur fanatisme et par leur intolérance pour se rendre compte que leur propos haineux, leur extrémisme, leurs insultes, ne correspondent aucunement en la Netiquette qui doit prévaloir sur tous les forums de discussions sur Internet. Omnubilés à me priver de mon droit à la liberté d'expression, ils se sont mis à utiliser leur tactique habituelle: insultes, grossièretés, menaces, espérant ainsi me faire taire.
Cyberpresse a donc décidé de couper court à leur délire fanatisé, et a tout simplement éliminé la «discussion», parce qu'en fait il n'y avait tout simplement pas de discussion. Juste un ramassis de délire haineux, de diffamations, d'insultes et de grossièretés tout aussi répugnantes les unes que les autres. Et évidemment, il n'y avait rien dans ladite «discussion» qui ouvrait le débat sur mon article. Mais ceci dit, j'aurais préféré que Cyberpresse laisse la discussion en ligne, car elle était très révélatrice du réel état d'esprit de la clique de réactionnaires haineux et intolérants et du vide total de leurs idées. L'insulte étant l'arme des faibles, leurs écrits en effet démontraient que vraiment, ces gens-là ne sont pas forts du tout...
Alors, ces enragés se sont rabattus sur le sujet suivant, un texte d'opinion sur l'Afghanistan qui n'a rien à voir avec le contenu de mon article, pour déjecter leur fiel à mon endroit, tout en déchirant leur chemise et en se jetant des cendres sur la tête parce que Cyberpresse a éliminé leurs propos diffamatoires et haineux, et cela en tout bons pharisiens hypocrites qu'ils sont.
Et maintenant, figurez-vous, ils me traitent de Goebbels ou de Goëring!!! Mais ceci démontre leur manque d'imagination plutôt crasse, car sur ce blogue, j'avais moi-même fait un parallèle entre Goebbels et leur grand héros, le très haineux, réactionnaire et anti-démocrate Pierre Falardeau. Soulignons également au passage la démonstration de leur ignorance: ils m'accusent d'être un agent propagandiste de l'«occupant» fédéral: Goëring, personnage tout aussi répugnant qu'il était (et que d'ailleurs les ancêtres idéologiques de nos nationalistes enragés admiraient, Lionel Groulx le premier, qui en plus, il avait un faible pour Goebbels et était un adorateur de Mussolini!), n'avait rien à voir avec la propagande. Goëring était en effet ministre responsable de l'armée de l'air d'Hitler... J'ai lu tout ce que j'ai pu trouver sur les procès de Nuremberg, ce que nos nationalistes enragés n'ont pas fait, vraisemblablement, ce qui d'ailleurs peut expliquer leur culte pour la «Nation» et la «Race Pure»...
Cela retourne, par exemple, en le texte d'un certain Jean Dunois, un personnage tellement bien «informé» et «lucide» que, l'automne dernier, ledit (ou prétendu) Dunois s'était mis à diffamer sur le Net un avocat de Paris qui avait le malheur d'avoir le même nom que le mien, en le présentant comme un «agent français» grassement payé par le fédéral pour «subvertir la libération québécoise». C'est dire combien ce Dunois se montre réfléchi avant de lancer ses stupidités paranoïaques sur Internet.
Mais il est vrai que les lâches de la sorte des Jean Dunois, à l'instar des Hélène Pisier (une spécialiste en onanisme, selon ce qu'elle se plaît à répandre sur le Net), Nicole St-Louis et autres du même acabit, se sentent beaucoup plus à l'aise de diffamer un opposant politique lorsqu'ils sont confortablement installés derrière leur écran d'ordinateur. Je parierais très cher que jamais ces individus (si encore ce sont là leurs vrais noms!) ne se sentiraient capables de me dire en pleine face toutes les énormités qu'ils se permettent de publier sur le Net à mon sujet. De vulgaires lâches, voilà ce qu'ils sont, et j'imagine très bien que si jamais ils osaient frapper quelqu'un, ce serait seulement dans le dos.
En lisant cela le fruit de la rage haineuse de nos chers fanatiques, on ne s'étonnera jamais assez de leur hypocrisie toute pharisienne... Ils pensent qu'ils peuvent diffamer une personne en toute impunité, et déjecter toute leur haine, et tout cela sans que personne ne réagisse. Vraiment, cela devrait donner à réfléchir à ceux qui pensent encore que le projet souverainiste favoriserait les libertés au Québec. Avec une meute de pareils fanatiques et enragés qui ne savent absolument rien de l'éthique la plus élémentaire en démocratie, on peut en effet se poser de sérieuses questions...
En tout cas, j'ai maintenant, c'est assez clair, l'honneur d'être devenu une cible privilégiée de ces gens. Et ceci me réconforte, car si mon propos leur était si indifférent, ils ne prendraient pas la peine de lancer leurs croisades délirantes contre ma petite personne sur le Net. Et s'ils pensent me faire taire, ainsi que les autres qui pensent différement d'eux, eh bien, ils feraient mieux de s'y habituer tout de suite: en plus de justifier par leur propos intolérants et haineux tout ce que nous disons au sujet de la frange pure et dure du mouvement indépendantiste québécois, ces fossoyeurs de liberté et ces diffamateurs grotesques ne réussiront pas à nous faire taire, et leurs déjections d'insultes et de haine ne feront que nous inciter à continuer d'exprimer ce que nous pensons. En toute liberté.
Et aussi, on peut aussi trouver un réconfort dans le fait que si un seul individu, dans ce cas-ci moi-même aussi dépourvu de pouvoir, d'argent et d'influence que je sois, peut à lui seul susciter tant de réactions hystériques de la part de cette clique de fanatiques indépendantistes, et ceci pour avoir commis le seul Péché de publier un article qui remet en cause leur version aliénante de l'histoire du Québec, c'est que leur cause est bien fragile et qu'ils se sentent fortement menacés. Avec des opposants aussi pitoyables et pathétiques, l'idée canadienne a bien de l'avenir devant elle...