Le Béotien
qui ne finit
plus d'en
finir...
Il n'y a pas eu que l'Anonyme Martyr Nationaleux, mes chers amis, à avoir récidivé pour mon plus grand plaisir... Eh oui ! le plaisir continue ! Paul-Henri Frenière, le Béotien de Saint-Hyacinthe en personne, vient encore d'ajouter à mon amusement avec le dernier billet de son blogue...
C'est qu'il n'en finit plus de finir avec moi, le Béotien... malgré qu'il ait intitulé le billet par lequel il avait cru me réduire au silence : Pour en finir avec Daniel Laprès... Il aura d'abord débuté son pseudo point final en inondant mon blogue de ses commentaires tout aussi insipides les uns que les autres ; ensuite, le flot de ses commentaires s'est réduit à deux, puis à un par jour, probablement à cause du fait qu'à chaque fois, je lui fermais le caquet en rétorquant fermement à ses insignifiances et à ses sous-entendus mensongers. Et là, le Béotien n'en finit plus de finir en me dédiant, de nouveau, l'essentiel de son nouveau billet.
Une finale aussi interminable, nourrie des rappels constants du Béotien, me flatte, je dois avouer...
Mais bien sûr, Frenière, en bon Béotien qu'il s'est révélé de lui-même, se montre dans son nouveau billet ne pas plus comprendre qu'au début le sens que, pourtant, le génie de la langue française a accordé aux mots qui la constituent. Il me traite aujourd'hui de "frustré" parce qu'il m'aurait empêché de lui répondre sur son blogue.
Pourtant, j'ai exprimé à maintes reprises le fait que non seulement sa censure démontre son incapacité à débattre de quoi que ce soit sur le fond, mais que tout l'épisode de nos escarmourches ne cesse de me distraire et de m'amuser au plus haut point. J'avais aussi signifié au Béotien que sa piteuse tentative de censure n'allait pas me restreindre dans ma liberté d'expression et dans ma critique, bien au contraire, sauf que j'allais dorénavant le faire sur mon propre terrain. Terrain sur lequel il est lui-même venu à maintes reprises, d'ailleurs...
Le Béotien semble s'effaroucher du fait que j'aurais dévoilé toute son ineptie. Il appelle ça : "se faire crier des noms". Ce que j'ai dit, et que je continuerai de dire, c'est que Paul-Henri Frenière a fait preuve de diffamation à mon égard, qu'il a aussi dévoilé ses préjugés sectaires et raciaux, et que, de ce fait, le "journaliste" qu'il prétend être ne se montre capable que de déblatérer n'importe quoi à travers son chapeau. Donc, Frenière le Béotien, c'est un diffamateur, doublé d'un personnage en qui le public ne saurait avoir confiance... sauf, bien sûr les suiveux de son clan politique. Après tout, après avoir passé près de 15 ans comme attaché de presse d'un député du Bloc, on ne peut pas ne pas s'être fait d'amis... pardon, de courtisans...
J'ai pu aussi réfuter point par point chacun des semblants d'arguments, et aussi des attaques malhonnêtes visant à tromper plutôt qu'à éclairer, que le Béotien avait formulés. Lui, il n'a pas réfuté un seul des points que je lui ai soulevés. Il contourne, tout simplement, à la manière de la couleuvre. Ce qui indique que s'il est réellement sérieux dans le désir qu'il vient d'afficher d'en finir avec moi, Paul-Henri Frenière, le Béotien de Saint-Hyacinthe, vient tout simplement d'admettre son échec. On appelle ça aussi déclarer forfait.
Enfin, le Béotien n'est même pas conscient des incohérences et contradictions qu'il profère les unes après les autres. Il vient d'indiquer, en gros caractères s'il vous plaît, que son blogue n'est pas politique. Pourtant, qu'était son billet dans lequel il me diffamait hypocritement, sinon une chronique politique ? Et aussi, que sont ses odes à "Saint René Lévesque" si ce ne sont pas des messages à saveur politique ?
Mais c'est vrai que, quand on s'appelle Paul-Henri Frenière, le Béotien de Saint-Hyacinthe, on peut se complaire à déblatérer n'importe quoi... Mais, même s'il ne l'admettra jamais publiquement, il aura appris, pour une fois, qu'on ne peut, en guise d'argument, salir impunément la réputation d'autrui d'une manière aussi gratuite que celle dont il a fait la preuve. Je serais même très surpris de le voir dorénavant s'adonner de nouveau à ce petit jeu minable.
Pour ma part, je suis persuadé que l'avenir me procurera ample matière à continuer de m'amuser avec lui, car je n'ai certainement pas l'intention de le perdre de vue... :-)